Bienvenue dans l’univers de
John-Frédéric Lippis
« La musique, je ne la joue pas , je la vis. »
L'amour du public
« J'ai réussi ma vie pendant que d'autres ne pensaient qu'à gagner la leur. »
« Je ne me suis jamais appauvri en partageant. »
« L'art est de tout retourner sans faire de poussière. »
« On ne triche pas devant un cœur qui bat. »
« Je n'ai pas d'égo, je passe à travers le miroir à chaque récital, sans m'être regardé avant. Le reflet de l'artiste, sa beauté, sa grandeur, c'est le public qui le donne. »
L'histoire
Né en 1971 un 28 septembre à Thionville, titulaire de la double nationalité française et italienne. D’une mère lorraine et d’un père né en Italie à Taranta Peligna (CH). L'histoire de cette famille, de l'après guerre, partie de rien est forte par l'humanité avec laquelle elle va évoluer. Si la maman en sera le socle, le papa va bâtir la maison familiale en 1971 (photo ci-contre), l'année de naissance de son fils, qui sera bien plus qu'un domicile mais un lieu de création tant pour le père et John-Frédéric. Son père y installera son auto-école, sa société de transport, ou des milliers de clients sont passés au son de la musique, le fils plus tard installera son home studio offert par son père pour parfaire ses enregistrements. Cette maison est le symbole de la famille, sa réussite, ses échecs, ses nombreuses fêtes, un lieu de rencontres musicales, un partage, d'où tout est parti, jusqu'à encore son titre "Memory" sorti en 2017, ou son Académie de piano, toujours sur place, toute sa carrière a été géré et généré dans ce QG familial. Et Aujourd'hui encore...
Une enfance heureuse, il reçoit une éducation rigoureuse. L'émotion a eu une part importante dans son éducation. Ce détail a équilibré et renforcé John-Frédéric. Un enfant très timide qui va s'ouvrir aux autres, avec et grâce à la musique, puis s'épanouir. Une vie saine pour une vie scène. Sa maturité étonne. Adolescent, on lui disait « qu'il avait 50 ans dans la tête. »
Une grande satisfaction de sa vie est d'avoir partagé la scène avec son père qui l'accompagnait à ses débuts pour des animations ou encore lors de son dernier concert
"Profumo d'Italia" en 2010. (photo ci-contre)
Avec John-Frédéric Lippis le mot "famille" a pleinement son sens, il est la base, tout est lié à cela, de ses parents jusqu'à ses 3 enfants aujourd'hui.
Seul au piano, il emporte le public dans ses envolées, ouvert à tous les styles, il est une invitation au voyage. L'harmonie et le partage sont son oxygène, un océan de générosité. Sa musique est intérieure, son but est ailleurs : le cœur.
L'instinct
À 11 ans, en 1982, il participe avec l’accordéon à son premier bal. John a goûté désormais à la scène, et scelle à jamais son histoire d'amour avec le public. Il dira plus tard que « le bal est la meilleure école pour la scène » même si ensuite son milieu classique lui reprochera cette appartenance à la musique populaire, lui en sera toujours fier d'appartenir à deux mondes différents.
C'est l'année de sa communion, et il découvre la beauté des chants interprétés par la chorale avec leur résonance dans l'église. Il est subjugué par la grandeur et la puissance de l'orgue et des voix qui s'entremêlent.
Auteur compositeur arrangeur
1985, il fait ses premières compositions « Musicien de Cristal », « Un giorno al mare », « Amérique à moi », ou encore « La Comète de Halley ». John est le créateur paroles et musiques : ce qui surprend est qu’il écrit la partition avec les arrangements pour chaque instrument à seulement 15 ans. Son père s'adresse à la Sacem et montera le dossier d'auteur compositeur avec son fils.
Le personnage John-Frédéric Lippis se dessine, il est ambitieux. Il veut apprendre, se discipline, il dévore les livres, joue des heures entières chaque jour, compose ou écrit très tard le soir jusqu'à la nuit.
Une carrière internationale, une présence affirmée
L'artiste a une relation particulière avec les gens, il interpelle, il y a quelque chose de profond et d'authentique. La vie d'artiste n'est pas facile. Il doit sa constance à un mental solide, un équilibre familial et à la discipline. L'humilité.
Début 1987, sa progression de créateur et musicien se confirme, il débute l’année en studio d’enregistrement et son énorme potentiel à tout juste 16 ans en épate plus d'un. L'auteur, compositeur, arrangeur et interprète, John-Frédéric maîtrise les outils, s'investit dans la recherche de sons, la programmation. Son matériel fétiche à l'époque, sera les synthés, Oberheim, Roland Juno 9, DX7, ARP 2600, Moog MemoryMoog, Sequential Circuits Prophet 5 ou encore la boîte à Rythme LINE 9000.. En entrant dans un studio, avant de regarder le matériel, il hume l'environnement, ces machines et ce bois et matières qui font l'acoustique.
En 1989, il passe avec succès son examen d’arrangeur pour orchestre. Ce qui intéresse les producteurs de films car John-Frédéric est capable de composer des musiques symphoniques de plusieurs styles et que sa formation musicale lui permet d’écrire sa musique pour les différents instruments, ainsi que sa capacité à diriger les séances en studio et orchestres. Il faut dire aussi que le musicien John-Frédéric a bien des atouts : il a commencé par la batterie acquérant les notions de rythme, l’accordéon l’instrument populaire, la guitare classique avec laquelle il va aussi s’initier à une musique flamenco/manouche et le piano qui est sa base de création. A Paris, les galeries de peintures le séduisent, il devient amateur d’œuvre d’art, à 18 ans, il commence à être invité dans les vernissages. Son ambition est déjà d’ouvrir une galerie d’art, chose qui sera faite beaucoup plus tard en 2006 au profit de nouveaux talents. Il ne renonce jamais à ce qu’il se promet.
L'Homme a la valeur de son coeur
Dans sa vie, John-Frédéric se plaira à tisser des liens improbables ou inattendus avec des personnes toujours différentes de lui, que ce soit d'origines, de religions, de visions, il y a sans cesse cette présence du mélange des genres, mieux encore du mariage des genres. il le fait habilement et si respecteusement. Sa vie est bâti sur la différence et la tolérance. Il s'immisce dans le populaire comme dans la bourgeoisie. Il réconcilie les gens entre eux que ce soit avec son accordéon ou le piano. Sa force est de rester le même.
En 2005 il est invité d’honneur au Téléthon à Reims de France 2 où il donne un récital de piano avec un répertoire éclectique. Il offre également une page originale d’une de ses compositions pour une vente aux enchères faite par un commissaire-priseur, toujours au profit du Téléthon pour lequel il ne compte plus ses participations.
Toujours la même année il est le compositeur arrangeur et producteur de « God’s Will be Done » disque de 3 titres au profit des sinistrés de Louisiane avec le soutien moral du Consulat des États-Unis de Strasbourg et de l’association Lorraine États-Unis au profit de France Louisiane.